• cul de sac

     

     Frondaison. Tu lâches peu peu ma main. Pas de larme . Dry.  Chrysanthème dans mes cheveux. Gelée je le suis encore, et ma gueule triste je vais la garder marquée indémodable.  Combien de temps? J'en sais rien. Longtemps sans doute. Je ne le prend pas personnellement. Pourquoi faire?  Tu n'as rien pour moi et puis basta. J'aimerais avoir de la rage de la haine, un autre sentiment fort pour contre-balancer.  Te trouver trouver dégueulasse serrait plus facile. Mais non tu t'acharnes à être correct. Tu t'en-têtes à être humain.  Et tu te montres sensible.  Désespérant.

     On marche dans l'allée des pierres. Soutenue cancéreuse en soins palliatif . La démarche tasser la tête dans les épaules. Mes genoux flanchent à chaque tentative de flexion.  J'aimerais  m'écrouler dans les feuilles mortes et lâcher soupire jusqu'à guérison complète. Tu me dis que non, que c'est pas possible, que c'est un dernière effort à faire . Ma tête lourde acquiesce.  Mes mains tremblent.  Il faut avancer.  J'ai cent ans ou peut-être plus.

     Toi tu ne veux pas, et je ne peux t'y contraindre. Je ne peux  que comprendre, je n'ai pas encore la force d'accepter.  Mon spectre déambule.  Qu'il me laisse en paix. Le corps reprendra ses droits en temps et en heure. Le reste suivra. 

     Projection virtuel qu'un corps ne peut souffrir l'alter-égo aux traits faussés proche du modèle original marquer dans la toile. LT. Tu en es l'auteur malgré toi, ou plutôt l'accoucheur. La personne qui tapote derrière écran n'est plus vraiment elle même.  Elle a juste acceptée de porter un masque sur mesure. Fardée blanc noir rouge.  Elle paie sa redevance au prix fort et elle accepte. Elle n'a pas eu le choix.

     Encore quelque pas et ce serra le repos final, Je crois. Décrocher des addictions et se mettre au vert. Un solution. Un besoin rage. 

     Le tailleur c'était toi, le prêt-à-baiser c'était moi.  Que tes ciseaux  déchiquettent cette espoir tenace. C'était ma prière. Et le je te l'ai demandée à genoux . Coup de grâce pour apaisement. Les yeux clos, profond soupire et c'est fini.

    -CQFD.

     


  • Commentaires

    1
    Jeudi 12 Novembre 2009 à 00:54
    cul
    CQFD
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